Nos chers fantômes de Trianon

Publié le 27 Mai 2023

Une récente pérégrination dans le domaine du Château de Versailles invite à évoquer des ancêtres qui hantèrent ces lieux. Ce n'étaient pas des aristocrates, mais des serviteurs hautement qualifiés qui eurent un rôle important dans le fonctionnement du Château sous Louis XV et Louis XVI et pendant la Révolution. Servant le Château plus que la royauté, ils restèrent en fonction sous trois rois, la république et l'empire. La dynastie Belleville régna plus de 70 ans sur les jardins du Grand Trianon et la sauvegarde des bâtiments et des jardins, des peintures et des sculptures, après le départ de Louis XVI,  doit beaucoup à Antoine Le Roy.

 

Grand-père de neuvième génération :

 

- Jean-Baptiste Belleville (1689-1762), jardinier du château de Plaisance à Nogent, puis jardinier du Roi à Trianon. Cette charge sera transmise par survivance de père en fils.

 

Grands-pères de huitième génération :

 

- Jean-Baptiste Louis Belleville (1712-1786), fils du précédent, garçon jardinier au Potager du Roi où il est élève de son directeur, Louis Le Normand, puis jardinier du Roi à Trianon de 1746 à sa mort, soit quarante années, succédant à son père comme jardinier en chef du Grand Trianon en 1762. Il fut notamment responsable des terrassements des jardins du Petit et du Grand Trianon, et de la création des bosquets. Il se forma aussi à l'étranger et souhaita dans une lettre au Comte d'Angivilier que son fils Jean-Baptiste Louis Joseph en fasse de même :

 

« D’après les voyages que j’ai faits en Hollande, en Allemagne et en Angleterre, j’ai observé qu’il étoit bien essentiel pour un jardinier, de pouvoir passer deux ou trois ans dans ces pays où le jardinage est un commerce et où le froid plus sensible force les jardiniers à chercher les moyens de se rapprocher de notre température pour obtenir les mêmes avantages. Je désirerois donc pouvoir faire commencer ainsi mon fils, (...) l’Angleterre [paraît] comme le pays le plus convenable, je crois pouvoir le placer chez quelques confrères, aux environs d’Oxford ou de Cambridge, où sans cesser le cours de ses études latines, il aura le temps d’étudier les plantes, d’en connaître la nomenclature et d’apprendre la langue du païs. » Il souhaite également faire passer son fils en Hollande à Amsterdam chez des confrères ainsi qu’au jardin de l’Université de Leyden « où il continuera de s’instruire dans le jardinage, dans la physique et tout ce qui a rapport à la culture des couches, des serres, des fleurs. »

 

La famille est logée modestement à Trianon, contrairement à l'ennemi juré Claude II Richard, jardinier au Petit Trianon,  mais Louis XV fait don à Jean-Baptiste Louis, en 1761 d'un terrain de 1400 toises superficielles au chemin de Glatigny, soit 5317 mètres carrés, et d'un autre en 1771, d'un demi arpent, soit 2550 mètres carrés, à côté de l'Hôpital Royal, le futur Hôpital Richaud :  un bien beau cadeau dont il pourra « jouir, faire et disposer dudit terrain comme de chose à lui appartenante, lui étant donné et à ses hoirs et ayant cause en toute propriété à condition de l’enclore et de n’y construire que suivant les alignements, symétries et décorations qui lui seront prescrits par les officiers des bâtiments et en outre d’en payer le droit de cens au domaine de sa majesté. » Cinq lustres ont passé et les 7867 mètres carrés en plein Versailles ont quitté la famille...

 

- Pierre Le Roy (1682-1741), pâtissier, premier Officier de Bouche du Duc d'Orléans.

 

Oncle de huitième génération :

 

- Olivier Belleville, frère cadet de Jean-Baptiste Louis, et aussi jardinier du Roi à Trianon. Il épouse en 1749 une fille de Louis Crosnier, jardinier du Roi à l'Hermitage et jardinier de la marquise de Pompadour. Olivier devient par là un beau-frère de Claude III Richard qui a épousé une autre fille de Louis Crosnier.

 

 

Grands-pères de septième génération :

 

- Antoine Le Roy (1737-1815), fils de Pierre et gendre de Jean-Baptiste Louis. Elève de Louis-Adam Loriot il remporte le premier grand prix de Rome d'Architecture en 1759 avec un projet pour une école d'équitation, et devient Architecte Dessinateur du Roi. En 1766 il épouse Jeanne-Madeleine, fille de Jean-Baptiste Louis Belleville, qui est aussi sa demi-soeur, la maman d'Antoine devenue veuve de Pierre Le Roy ayant épousé Jean-Baptiste Louis devenu également veuf. Antoine devient Inspecteur principal des bâtiments et des jardins du domaine de Versailles, il est en charge du bon fonctionnement de la machine "Château de Versailles et ses jardins" :

 

En 1774 Antoine est à la manoeuvre pour la replantation globale des parcs de Versailles et Trianon qui va durer quatre ans. Pour lancer la plantation, sur 52 arpents (soit 26,5 ha), il évalue les besoins en plants de chênes à environ deux cent mille pieds, et soixante mille de frênes, hêtres et ormes. La quasi­totalité de la plantation doit donc se faire en chêne, et Antoine insiste sur l’importance de ne pas le mélanger à d’autres espèces, dont les variations de croissance seraient nuisibles. Le détail des espèces moins courantes est donné dans la suite de son rapport. Le tilleul, dont la croissance est facile à diriger, convient aux deux côtés du Tapis vert ; c’est « un des arbres les plus recherchés pour plan­ter des allées et des bosquets, sa feuille, sa tige, sa tête, son écorce, tout en est beau : il jette dans l’été des fleurs dont l’odeur est fort agréable ». Le marronnier est prévu pour les quinconces, l’orme et le blanc de Hollande destinés aux parties basses et humides, l’épine blanche en parement le long des massifs, et les charmilles pour les lignes isolées. L’orme a la préférence du théoricien des jardins, après le chêne : il « est encore un des plus beaux arbres qu’il y ait. [... Il] croît bien plus vite que le chêne, et il est plus estimé pour planter des allées et des bosquets. »

 

En 1778 Louis XVI demande à Antoine de modifier l'escalier menant à la bibliothèque sous les combles qui en informe le Comte d'Angivilier, directeur général des bâtiments : « J’ai l’honneur de vous instruire d’un changement que Sa Majesté vient de faire faire aujourd’huy chez elle, lequel a été de supprimer le petit escalier tournant descendant de sa bibliothèque pour entrer dans la pièce du tour, et de le rétablir droit tel que Monsieur le Comte le verra figuré ci-dessous, et qui est conforme aux intentions du Roy. Ce rétablissement pourra durer en y mettant toute la célérité possible deux à trois jours. » 

 

En 1780 il participe au grand concours d'architecture organisé par Louis XVI pour reconstruire le château. Les propositions sont grandioses voire délirantes et Antoine n'est pas en reste, avec deux escaliers gigantesques, une forêt de colonnes et un aqueduc souterrain "pour la propreté du château".

 

Le 29 octobre 1784, Louis XVI charge Antoine  « de faire dorer l’un de ses petits cabinets particuliers qui ci-devant faisait les anciens bains de Louis Quinze ». Parmi les éléments anciens remplacés figure « un chambranle de marbre bleu turquin de 3 pieds 3 pouces sur 3 pieds 3 pouces de hauteur provenant du cabinet secret du Roy, garni de ses revêtements »  qui sera reposé le 8 juin 1785 « au logement de monsieur Le Roy, Inspecteur rue de la Pompe ». Antoine a donc hérité d'un chambranle du cabinet secret de Louis XV !

 

En 1785 Louis XVI charge Antoine de superviser des travaux de plomberie : « Sa Majesté m’a ordonné de faire démolir l’ancien réservoir des petits appartements en le reconstruisant au-dessus du logement de M. le duc de Cossé et de faire élever en place deux pièces destinées à loger M. David contrôleur des petits appartements. J’ai cru devoir préalablement, en attendant les ordres de monsieur le directeur général, prendre les mesures nécessaires pour mettre cette besogne en exécution, pensant bien remplir ses vues. Monsieur Heurtier à qui j’en ai fait part à l’instant, doit en avoir rendu compte à monsieur le directeur général. »

 

De 1786 à 1788 il dresse l'état des réparations à faire pour les jardins de Versailles et Trianon : la somme astronomique de 1 200 000 livres est nécessaire…. Ces dépenses extravagantes seront durement reprochées à Marie-Antoinette.

 

A la Révolution Antoine est confirmé dans ses fonctions mais le désormais Architecte du Palais national, Inspecteur des bâtiments et des eaux, dut remplir des missions bien différentes :  en 1794 il a ordre de dépaver la cours royale et d'abattre les grilles et un décret de la Convention l'enjoint "de faire faire des trous de distance en distance et au moins de six pieds quarrés sur trois de profondeur tant dans les allées transversales ainsi que celles des décors en buis ou en gazon pour y recevoir des arbres de rapport...". La surveillance et la sécurité des bâtiments étaient entièrement sous son autorité. Antoine avait sous ses ordres le concierge du palais, le garçon de la conciergerie, le garde-magasin, deux gardiens de tableaux, deux conservateurs du parc, deux gardiens des statues et jets d'eaux, le piqueur des bâtiments, le commissaire, le concierge de la Grande Ecurie, le jardinier Richard du Petit Trianon, le concierge du Grand Trianon et son aide, et les six frotteurs pour l'intérieur des appartements. Faute de moyens un grand relâchement s'était installé parmi le personnel de service. En principe les clés ne devaient être utilisées que par les balayeurs, les frotteurs et les gardiens, en fait elles passaient de mains en mains et s'introduisait qui voulait ! Antoine se vit dans l'obligation de prendre des mesures draconiennes; il en prévint les membres du district le 28 vendémiaire an III (19 octobre 1794) : "Le pillage et la malpropreté, écrivait-il, y sont tellement à l'ordre du jour qu'il est impossible que cela dure plus longtemps. Je ne fais pas de tournée, que chaque fois je n'y découvre de nouveaux délits, aujourd'huy ce sont des portes crochetées pour enlever les serrures, demain ce sont des carreaux de vitre volés dans les corridors, d'un autre côté ce sont des portes entières garnies de leurs serrures que l'on enlève et par dessus tout une saloperie sans bornes".

 

 

Néanmoins le désordre continuait et Antoine envoie un nouveau rapport au district, le 28 ventôse an IV (18 mars 1796), pour l'informer du mauvais exemple que montrent journellement les militaires dans les jardins de Versailles : « 1° en lavant leur linge dans les bassins dits « les Buffets » de chaque côté de la terrasse, quoiqu'on leur ait dit et répété que cela était défendu; 2° en le battant sur les tablettes en marbre et l'étendant sur les charmilles; 3° en trépignant les gazons (cela sans mauvaise intention), mais en voulant s'approcher des bronzes décorant les bassins de la terrasse; 4° en sautant par-dessus les barrières du pourtour de la pièce de Neptune et grimpant sur les groupes en plomb, en y faisant le long des charmilles des ordures affreuses ; 5° en franchissant les grilles de fermetures des bosquets, particulièrement ceux des bains d'Apollon et de la Salle-de-Bal, et déclouant des parties de treillage pour pénétrer dans les massifs; 6° en choisissant ce lieu pour champ de bataille lorsqu'ils ont quelque différend à vider, ce qui a déjà occasionné des craintes et de l'épouvante aux citoyens paisibles qui vont là avec sécurité».

 

Pour éviter que toutes les oeuvres d'art du château ne soient dispersées, la Convention y crée en 1796 le "Musée central des arts" qui deviendra le "Musée spécial de l'École française". Trois conservateurs sont nommés dont Antoine qui est chargé des peintures. Dans cette nouvelle fonction il n'oublie pas les sculptures du mythique bosquet du labyrinthe qui avait été détruit et remplacé par le bosquet de la Reine lors de la grande replantation. Il commande leur transfert dans le nouveau musée et à cette occasion les 314 éléments conservés sont inventoriés pour la première fois. Les successeurs d'Antoine ont été moins consciencieux et beaucoup de plombs ont été perdus.

 

En 1798 le ministre de l'intérieur, Le Tourneux, écrit à Antoine pour qu'il prenne les mesures nécessaires à la plantation de l'arbre de la liberté au milieu de la cours du palais, puis l'Administration "invite particulièrement le citoyen Le Roy" à assister à ladite plantation. Le ministre autorisera ensuite la publication du procès verbal de cette cérémonie grandiose : "Là, en présence du Peuple réuni en foule et applaudissant à l’envi, le Président du Département, après quelques paroles d’exécration, a brisé, en mille morceaux un sceptre et une couronne préparés à cet effet." Puis le président du musée prononça un discours enflammé : " Citoyens, Vous venez de célébrer l’Anniversaire de l’une des plus grandes époques de la Révolution : celle de la mort du dernier Tyran des Français. Il vous reste encore à faire un acte solemnel, c’est d’en consacrer ici la mémoire à jamais, par la plantation de l’Arbre de Liberté, symbole consolant d’une existence digne de nous. Cette Terre, si longtemps souillée par la présence des Despotes qui la foulaient avec tant d’orgueil et de pompe va donc enfin être purifiée ! Elle va nourrir dans son sein les racines vivaces de l’Arbre chéri des Peuples libres. L’Arbre sacré de la Liberté dominera seul désormais sur le fastueux sommet de Versailles ; et sa tête sublime s'élevant un jour jusqu'aux nues, frappera les regards de tous les habitants du monde./.../ Fantômes de grandeur qui séduisez encore l'imagination des hommes dégradés et corrompus ; vaines illusions, fuyez de ces lieux pour toujours que l’air en soit revivifié par une végétation salutaire ; que tout, dans cette enceinte, respire le calme la concorde et la paix. Arbre de prospérité, hâte-toi de croître, de développer tes branches vigoureuses, hâtes-toi de fournir aux Autorités rénumératrices, les couronnes civiques, digne récompense du Citoyen ami de l’humanité, conservateur de son semblable...."

 

Au milieu de toutes ces folies, Antoine aura été pour beaucoup dans le sauvetage du Château, de ses collections et des jardins, aussi Louis XVIII lui décerna la Légion d'Honneur en décembre 1814. Peu de temps après, le 11 mars 1815, "Antoine Le Roy, ancien Architecte des Bâtiments du Roi, membre du Conseil Municipal de cette ville, décède en sa maison, rue Lafayette, n°11".

 

 

- Emmanuel de GHENDT (1738-1815): Né aux Pays-Bas autrichiens, il vécut à Paris. Sa fille, Nicole, épousa Jean-Antoine, le fils d'Antoine Le ROY. Emmanuel est un des graveurs majeurs du XVIIIème siècle. Ses oeuvres ont exposées au British Museum, au Harvard Art Museums, au Louvre, au MET, à la National Gallery etc. Parmi ses oeuvres les plus célèbres, figurent « les quatre heures du jour », eaux fortes gravées en 1765 d’après les gouaches de Pierre Antoine Beaudoin, et bien entendu une de ses gravures orne les murs de l'IMP.

 

Oncles et Tantes de septième génération :

 

- Jean-Baptiste Louis Joseph Belleville (1745-1789) : jardinier du Roi, adjoint de son père Jean-Baptiste Louis à partir de 1762, puis jardinier en chef du Grand-Trianon de 1786 à 1789.

 

- Marie-Louise Belleville, née Picard (1757-1830), épouse du précédent, elle lui succède à sa mort en tant que Jardinier en chef du domaine de Trianon en 1789. Elle reste en poste pendant la Révolution, sous l’Empire et jusqu’au début de la Seconde Restauration. Après vingt-huit ans de service en qualité de jardinière en chef du Grand Trianon, la Maison du roi la congédie en 1816. Cette charge sera restée dans la famille durant 70 ans. Le neuf janvier de l’année suivante, Louis XVIII lui accorde une "pension annuelle et viagère de la somme de 460 francs". Cette pension de la « Caisse de Vétérance » est renouvelée sous Charles X le 25 octobre 1825, par le document exposé à l'IMP, un parchemin avec sceau à sec aux armoiries royales. Il provient du « Bureau des pensions » du Ministère de la Maison du Roi. Pièce signée du ministre Ambroise-Polycarpe de La Rochefoucauld (1765-1841), duc de Doudeauville. Contresigné par Jean Louis Armand de Wolbock, baron de Wolbock (1792-1861), inspecteur général de la maison du roi. Un de ses fils, Antoine-Auguste Belleville (1775-1836), fut Page de la Musique du Roi de 1784 à 1790, puis s'engagea dans l'armée. Il participera à la bataille de Waterloo et sera fait chevalier de la Légion d'Honneur en 1833. Marie-Louise fut aussi la marraine de Louis Louvel, l'assassin du Duc de Berry.

 

- Etienne Belleville (1748-1803) : musicien ordinaire de La Chapelle Royale où il est chanteur haute-contre, de 1778 à 1790. Cette année-là il touche 2400 livres d'appointements, puis s'engage dans l'armée.  En 1793 un procès-verbal de la Convention nationale indique que "le citoyen Belleville, musicien, demeurant à Trianon, fait don, pour ses frères d'armes qui sont aux frontières, de huit chemises, de deux paires de guêtres de drap noir, de deux paires de bas de fil, d’une paire de souliers & d’un paquet de linge usé pour les blessures".  Lieutenant du génie dans l'armée de Leclerc, il décède des fièvres dans l'Ile de Saint Domingue.

 


Sources. Outre les archives départementales des Yvelines en ligne et Gallica, les principales informations sont extraites de :


BOREAU DE ROINCÉ, Gabrielle, Conserver ou transformer ? La replantation des jardins de Versailles à la fin du XVIIIe siècle, Versalia, Revue de la Société des Amis de Versailles, n°19, 2016, pp. 215-234.

 

CAFFIN-CARCY, Odile, Que devint Versailles après le départ de la Cour ? Revue Historique, 286(1 (579)), 1991, pp. 53–80.

 

IDOUX, Viviane, L’administration des Bâtiments du Roi sous les règnes de Louis XV et Louis XVI, Thèse de doctorat d'Histoire, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines, 2015. 

 

LAMY, Gabriela, « Murs-murs » des pépinières de Trianon, Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles, 2016.

 

LE GUILLOU, Jean-Claude, Le « côté du Roi » au temps de Louis XVI, Versalia, Revue de la Société des Amis de Versailles, n°10, 2007, pp. 80-142.


VILLENEUVE, Fanny, Aspects économiques et sociaux des jardins du château de Versailles sous Louis XV et Louis XVI, Master d'Histoire, Université d'Ivry Val d'Essonne, 2008.

Plan de Trianon en 1688

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Titre de pension de tante Marie-Louise

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Le grand abattage de 1774 dépeint par Hubert Robert en 1777.

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Le projet démesuré de grand-père Antoine
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Les folies en 3D de quelques collègues d'Antoine.

Les jardiniers en livrée verte ne peuvent être que des Belleville.

Le fameux pavillon chinois n'était pas une hallucination des oxfordiennes.

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L'homme au visage repoussant fut peut être Claude II Richard.

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Rédigé par Institut de Mathématiques de Pralognan (IMP)

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